CÉRÉALPES

Résumé

Aujourd’hui, plus de 40 délicieuses recettes Céréalpes sont disponibles en magasin bio. Pour en arriver là, tout ne s’est pas fait en un tour de main ! Découvrez comment tout a commencé dans les années 70 et comment les valeurs portées par Céréalpes nous amènent aujourd’hui à vous raconter une...
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Découvrez leur histoire

1975 — 1985 C’est en 1975, à Revest-des-Brousses, au cœur des Alpes-de-Haute-Provence, que Daniel Odobez décide d’ouvrir sa boulangerie bio. Il distribue son pain cuit au feu de bois d’abord localement puis auprès des magasins bio de toute la région. 1986 Un jour, l’un des clients de Daniel lui demande de diversifier son offre en proposant autre chose que du pain. Daniel a alors l’idée de travailler l’association de céréales. Dans sa cuisine, il réalise de nombreux essais avant d’élaborer sa toute première galette de céréales, composée de riz, de blé, d’avoine, d’herbes de Provence et de sel. 1986 — 1988 Tous les vendredis, Daniel livre une quarantaine de galettes à un unique client, le magasin de la rue Chabrier à Aix-en-Provence. A cette époque, pas d’étui ni de barquette ! C’est dans des boîtes à pizza que Daniel transporte ses galettes. Au fil des mois, il les décline en trois saveurs : Nature, Sésame et Provençale. 1988 — 1990 D’autres magasins bio s’intéressent aux spécialités de Daniel. A cette époque l’offre de produits au rayon frais est pour le moins minimaliste et l’activité de Daniel prend rapidement de l’ampleur. Il devient alors nécessaire d’investir dans une petite machine à cloche d’occasion pour pouvoir proposer des galettes emballées sous vide et améliorer leur conservation. À cette époque, cette aventure est un pari que certains jugent un peu fou et au succès de laquelle peu de personnes croient… 1990 — 1992 Devant l’intérêt croissant des magasins bio pour ses galettes de céréales, Daniel cesse son activité de boulangerie et créé en 1992, avec son frère Yves, l’entreprise et la marque Céréalpes. Un entrepôt aménagé fait alors office d’atelier de fabrication. Daniel investit dans un petit four et continue de fabriquer ses galettes à la main. Les premiers recrutements sont effectués.